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Homme convivial

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14 décembre 2006

Elle...

La sérénité, ce sera son retour...ses yeux et son coeur dans lesquels seuls je me baigne.

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13 décembre 2006

Hercule...

Ainsi, le temps parvient-il où il sera l'occasion de vous présenter Hercule...je sais que vous serez déçu. Je vais le décider, ce sera à la mi-janvier. Mais je parviens au terme de ce premier cycle. Je n'ai pas percé le mystère évoqué au début de ce blog. Seulement un tantième. Car les bons comptes font les bons amis. Et je souhaite devenir mon ami. Ici commence à s'achever mon premier Tam Tam Tempo. Oui, j'ai évoqué cette idée. Ce Tam Tam, parfois lointain, parfois si près, comme un but que l'on ne trouve pas soudainement, une recherche, mais pourquoi au fonds ? La sérénité. Le prochain pas sera un bon. Je crois qu'il va changer ma vie.

1 décembre 2006

Androgyne: introduction

L'individualité, d'époque, renvoie chacun à la dualité intime, intérieure: mon féminin, mon masculin. Cette recherche d'harmonie intime livre-t-elle les mêmes batailles que dans la confrontation entre le féminin et le masculin de l'extimité ?

Paul est conquérant

Jean est apaisant

Pour comprendre Paul, Jean a dû acquérir sa pleine expression de soi. Il a parcouru des chemins de pensées, d'émotions, de sentiments, qui l'ont amené à oser exprimer ce qu'il ressentait, librement, s'intéresser a se vêtir, se montrer, d'une manière séduisante, connaissant ainsi mieux ce qui chez lui pouvait attirer le regard de l'autre.

La vie ne l'a pas ménagé. Extrait de sa gange, il aborde alors Paul sous un autre regard. Le voit conquérant, capable, illustre. Mais le temps a passé. Et les questions qui se posent à lui sont nouvelles. Même si, se rend-il compte, elles font appel aux capacités de Paul, elles n'en demeurent pas moins vivaces et préoccupantes. Paul réalise alors qu'à peine a-t-il eu le temps de s'aborder, de faire connaissance de cette partie de lui-même, qu'il devra user de ses deux univers intérieurs, Paul et Jean, pour parvenir à se réaliser tel un homme nouveau.

Alors pour lui s'ouvre une nouvelle voie. Il décide d'en faire une raison de motivation et d'expression. Sentant qu'il se débarrasse de nombres de comportements antérieurs, qui ont fait leur temps, il accepte l'augure et le hasard de l'instant présent. Il pense pouvoir réaliser de nouvelles expériences, tirer parti de nouvelles opportunités en laissant aller sa personnalité à la rencontre du temps présent. Y parviendra-t-il, sachant qu'il n'est pas seul à décider ? Que l'adversité se trouve aussi à l'extérieur, et qu'il n'a pas le contrôle de toutes choses ?

15 novembre 2006

Sentiments.

Le parcours des sentiments, parcours sans fin, comme autant de lieux d'inspiration, un sentiment puis l'autre, à jeter ou offrir, batailleur ou paisible, le parcours des sentiments, parfois butant sur les violences du temps, barrières infranchissables, se transformant une fois contournées en de nouvelles barrières, presque identiques, ailleurs. Le parcours des sentiments, pour apprendre, réellement, à démanteler complètement les barrières. Je lui ai dit ce sentiment. Peu importe lequel. Il m'a répondu. Celà ne semble pas si grave. La gravité est dans la peur que tu as devant la barrière rencontrée. Il était Elle. Elle était Il. Un mélange qui savait donner à la remarque une valeur certaine. Alors j'ai regardé la barrière autrement. L'ai entammée, tirant par ci, tirant par là. Pour laisser libre le passage et te voir, m'attendant sur l'autre versant, comme je t'attends chaque fois sur l'autre côté de tes barrières infranchissables. Pour prendre ta main et suivre ensemble, un bout plus loin, le parcours de nos sentiments.

13 novembre 2006

Viens voir mon blog !

et dis-moi ce que tu en penses ! ou bien ce que tu aimerais y trouver. Non, ne dis rien, ou ne viens plus le voir. C'était pour rire. Juste savoir ce qui se passe si tu écris viens voir mon blog.

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12 novembre 2006

Temps et ratures...

En toute chose il faut prendre son temps,

Ou le juste temps, en toute chose il faut savoir,

Sentir, saisir, diffuser, proposer, tenter,

En toute chose il faut son temps, le bon moment,

En ton temps, temps et ratures, il faudrait ce soir,

Deviner, écouter, parsemer, insinuer, et oser.

7 novembre 2006

Hei, mon ami !

Ce soir, foin de paresse, l'heure est venue de malaxer. J'ai envie de présenter à la bouche des saveurs citonnées, entendre les murmures de plaisir bercer mes oreilles, voir les yeux un instant pétiller et les gorges se dénouer au passage de ton oeuvre. Hercule ! Lève-toi !

7 novembre 2006

Tentatives...

Il y a celui qui protège son coeur, reste muet, observe et n'affronte. Il y a celui qui cherche son coeur, rayonne, diffuse, s'épanche, se casse parfois, et se blesse. Et puis cet autre qui reste de glace. Il y a celui qui sourit, prend pour entier tout ce qui pourrait arriver ou se présente, ne ressent ni trouble ni regret, sourit en dedans de lui, au point d'oublier de le montrer, écoute son coeur, contemple et agit. Tentatives.

6 novembre 2006

Désirs et volontés...

...le désir, aspiration...pas le désir du corps, le désir pluriel, début de nouvelles énergies, vers d'autres possibles...toujours relié au plaisir...puis la volonté, d'y parvenir...et la volonté, peut-être, de ne pas le retenir, le laisser s'estomper, pour un autre plaisir...ou juste pour savoir renoncer.

3 novembre 2006

Renaissance

Laisse ton coeur parler, sens-le battre dans ta poitrine, concentre-toi, physiquement, sur son rythme, ferme les yeux et laisse s'en aller, l'espace d'un instant, tous tes sentiments négatifs, puis ouvre les yeux et regarde autours de toi, sens ce petit moment de grâce, source d'un possible renouveau, foison de sentiments frais, de tes possibles. Pardon.

1 novembre 2006

Réseautage.

Il y avait quatre tables. Rondes. Et les convives tout autour ne se connaissaient pas encore. J'étais assis entre un imprimeur de longue date et un jeune premier représentant un parti politique, frais émoulu, comme on dit, et pétri d'ambition. Mais il semblait par ses paroles reconnaître certaines vertus à la modestie. Ce qui voudrait dire qu'il avait quelque expérience. Une femme ventait les mérites d'un produit miracle, gouttes médicinales venues du Mexique. Son accent raisonnait, grave, telles ces femmes latines qui ont décidé de prendre le taureau par les cornes. Mais son regard, si fragile, laissait à penser qu'elle aurait pu se servir de quelques gouttes. Je me demandais ce qui, après déjà tant d'années, l'avait amenée à traverser l'Atlantique pour vanter un tel produit, a priori voué aux publicités mensongères. Et puis cette autre femme, dont l'épuisement apparent inspirait de la compassion, les traits tirés, le teint blême, fatiguée de contourner les obstacles rencontrés pour la création de son affaire. Visage marqué par les tensions, les déceptions peut-être, de tant d'efforts et d'espoir engloutis par autant d'indifférence, de freins et de crédulité. Il faut pour saler l'océan plus qu'une cuiller à café. Elle nous informa sur sa mission: aider les responsables d'entreprise à soigner leur image, non-verbale précisait-elle avec insistance. Entre elle et mon interlocuteur direct se trouvait un autre représentant de parti. Tandis que son collègue louvoyait entre les arguments partisans, ce dernier, le visage fin, le teint bronzé, peau lègèrement parcheminée sous son regard vif et gris, sautait sur chacune des remarques de la tablée pour la tourner à l'avantage de son candidat préféré, sinon adulé. Il exprimait tout ce pourquoi j'avais toujours onni d'entrer en politique. Cette forme d'engagement aveugle, qui mène à l'utilisation de toute situation ou opinion au service de son intérêt. Donc à la dérive. Mais il faut de l'énergie pour percer. Autant que d'énergiques dirigeants. A ma gauche, une place plus loin car il restait une place vide, l'imprimeur semblait vouer à cet instant convivial une attention égale au poids de ses soupirs répétés. Il s'ennuyait, visiblement, rien à imprimer à l'horizon. En face de moi, un homme de marketing exercait son charme, faisant semblant de s'intéresser à chacun, jaugeant puis délaissant, tout en finesse, surfant ainsi sur la vague des propos tel le regard aiguisé sur des statistiques. Enfin, juste à côté de lui, siégait un individu dont l'accent anglais incitait à lui seul à monter à bord d'un grand navire à voiles, en route vers de nouveaux territoires de conquête. Les "ans" et les "ons", tels des gongs du Big Ben, ponctuaient chacune de ses phrase, exhalées plus que parlées. Je souriais à l'idée que l'on devait se faire de moi. Pensais aux espoirs de chacun dans ce moment d'échanges purement intéressés. Le dessert arriva quand bien même trois des convives s'étaient déjà échappés, annonçant avec force courbettes une occupation imminente et impérative. Puis le café se fit sentir, tandis que deux autres invités s'étaient également fendus de plates excuses. Nous parlâmes alors de famille, voyages et sentiments autours de thèmes étrangers aux affaires. Morceaux choisis, ou délivrés enfin des contingences. Tels des petis grains précieux retenus par le tamis. Et je pensais alors, avant de les quitter, que chacun des trois se souviendrait des deux autres, le moment venu.

31 octobre 2006

Question.

Faut-il parler de Dieu ? de Compassion ? ou d'Amour ?

31 octobre 2006

Cycle I : Tam Tam

Il y a des cycles. Celui-là n'est pas terminé. Juste commencé. Il n'a pas de nom. Mes cycles, ce sont mes Tam Tam. Parfois je les entends de loin. N'y prête pas tout de suite attention. Mais ils arrivent. M'entourent. M'interpellent, m'effraient, me comblent ou me transportent. J'aime souvent mes Tam Tam, ils m'annoncent toujours des choses nouvelles. Les Tam Tam turbulents, j'essaye d'en changer le tempo. Et reprends ma danse.

31 octobre 2006

Feux

Le feu, c'est ce qui te brûle. Evidemment. Te réchauffe, aussi. Si tu es seul(e), tu composes ton feu, la sagesse voudrait que tu le mesures et l'entretiennes, pour une bonne chaleur. Parfois tu exagères, t'amuses et commence à t'y sentir trop près, te brûles alors un peu. Tu t'en écartes et ressens alors la fraîcheur de ton environnement. Et dois composer à nouveau ton feu. La fraîcheur, d'ailleurs, tu la ressens plus en ton intérieur. Comme si à se brûler en dehors on se trouvait plus froid en dedans. Mais ton feu en solo, celà va un moment. Tu voudrais t'approcher du feu des autres, ou du feu d'un(e) autre. Et là, c'est plus difficile. Tu risques davantage de te brûler. Parce que tu n'es pas seul(e) à préparer le feu. Etonnamment, il se trouve plein de Compétents pour dire le comment et le quand du feu. Tu recherches ton feu commun. Un jour tu penses le trouver. Tu t'enflammes, évidemment. Le feu attire le feu. Si tu es sage tu prends ton temps. Tout ton temps. Tu alimentes le feu. Mais tu ne peux pas l'alimenter seul(e). Parce que peut-être ce n'est pas suffisant. On te demande plus de chaleur. Et tu ne peux pas l'alimenter à l'excès. Parce que tu risques de tout brûler. Et tu ne peux pas oublier de l'alimenter, parce qu'il risque de s'éteindre. De même, tu auras de la difficulté à en alimenter plusieurs à la fois, à trop vouloir allumer de feux tu risques de provoquer un véritable incendie. Ou de n'être jamais vraiment bien réchauffé. J'ai beaucoup d'admiration, d'ailleurs, pour les pompiers. Ils risquent leur vie, à tout instant, pour éteindre des feux qu'ils n'ont pas alimentés. Il faut apprendre à jouer avec le feu, sans se brûler. Juste bien se réchauffer.

31 octobre 2006

Paresseux

Hercule ne travaille pas des masses ces jours. La faute à Paresse. Et manque d'inspiration. Avez-vous souvent rencontré ce sentiment d'inspiration solitaire, qui vous incite à réaliser quelque chose sans autre destinataire que vous-même ? Ou bien ressentez-vous, quasi simultanément, le désir de le partager ? Il faudra que j'en parle également à Hercule.

30 octobre 2006

Dédicace

Je dédie ce blog à mon épouse. Dont les seuls yeux lisent l'entier de ma personne. Elle seule aurait à connaître de tous mes secrets. Elle qui se trouve devant, elle qui se trouve derrière, et au milieu de la scène.

29 octobre 2006

Rêves de déserts.

Heureux ceux qui voyagent. Rencontrent et s'étonnent. Libèrent des paroles et entendent des mots aux sons inconnus. Je rêve de déserts, puis de rencontres colorées. De grandes traversées, du nord au sud. D'images lointaines qui me rendent silencieux, profondément.

29 octobre 2006

Jeux d'émois.

Le jeu des mots vaudra toutes les chandelles.

29 octobre 2006

Phrases

Il y a des mots, des phrase, que l'on ne saurait dire. Mais doit-on empêcher de les dires ?

29 octobre 2006

Ne le dites pas.

Je n'aime pas les jardins secrets. Ce qui est secret ne sera donc pas dans mon jardin. Le jardin, chacun pourra le visiter, le parcourir, s'y perdre, qui sait...

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